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Chronographe Tribute CACC Can Am

Chronographe Tribute CACC Can Am

349,00 €Prix

La ARPIEM Tribute est un chrono homme typé « sport », vintage, racé et élégant. La passion pour les sports mécaniques de son créateur est liée avant tout aux émotions : les sons, les formes les odeurs et les couleurs. Ce sont ces émotions qu’il a voulu retranscrire dans la collection des montres Tribute équipées d'un mouvement suisse à quartz.

La série Can Am bénéficiait à sa création, par la volonté de ses promoteurs, d’un règlement extrêmement libéral, en vue d’y aligner des voitures puissantes et spectaculaires qui pourraient concurrencer les Formule 1. Jugez-en par vous-même. Ce règlement était issu de celui des Groupe 7 établi par la CSI (l’ancêtre de la FIA). Les voitures devaient être bi-places, avoir les roues couvertes et posséder un arceau de sécurité au-dessus de la tête du pilote. Et c’est tout ! Aucune restriction sur les dimensions, sur la motorisation, en cylindrée ou utilisation d’un turbo, aucun poids minimal.

Ce règlement accoucha de quelques voitures magnifiques, telles la série des M8 de Mc Laren ou la Porsche 917/30, version ultime de l'icône de Stuttgart qui développait plus de 1000 chevaux. Le cadran de la CACC reprend les mythiques couleurs de la M8. Mais cette règlementation donna l’occasion de voir les voitures de compétition les plus extravagantes et les plus improbables qui n’aient jamais été construites. Leurs noms figurent en bas du cadran de la CACC. Les voici :

AVS SHADOW MK1

Première voiture produite par Don Nichols en 1969, ce dernier fera parler de lui dans les années 70 en Formule 1 avec son équipe américaine, Shadow. Nichols était un personnage étonnant : ancien de l’Air Force américaine, passé par la CIA, il fit fortune après la guerre au Japon en y important des pneus et des accessoires automobiles. Mais ce n’est pas le sujet.

La volonté affichée avec la MK1 était de produire la voiture la plus petite possible, munie du plus gros moteur possible, avec la surface frontale la plus réduite possible.

S’en suivit une espèce de Go-Kart géant, équipé d’un V8 Chevy de 7 litres de cylindrée et 675 chevaux, dont le châssis protégeait à peine son pilote, équipé de roues de 10 pouces à l’avant et 12 pouces à l’arrière. Un monstre (photo à consulter dans le carrousel de présentation de la CACC).

George Follmer et Vic Elford furent les courageux pilotes qui en prirent le volant. Follmer déclara d’ailleurs à son sujet : « c’est la pire voiture que je n’ai jamais conduite. C’est une fusée en ligne droite mais il est impossible de la ralentir (NDLR : pas très étonnant : imaginez la taille de ses freins avec le diamètre ridicule de ses roues) ni de la faire tenir sur la route. On a l’impression qu’elle est équipée des amortisseurs de la Ford T »

 

MAC’S IT SPECIAL

La Mac’s IT est encore plus extravagante : cette voiture est équipée de 4 moteurs, des ROTAX 2 temps de 775 cm3 et 110 chevaux, chacun alimentant une roue tout en étant relié aux autres avec un complexe système de transmission ! Comment quelqu’un a-t-il pu croire une seule seconde que cela pourrait fonctionner ? La voiture roula néanmoins : elle fut présentée à la course Can Am de Laguna Seca en 1970. Aux essais, le tour le plus rapide fut réalisé par une Chaparral 2J en 59 secondes. La Mac’s IT boucla son meilleur tour en 1 minute 32 secondes… Ce fut sa seule apparition en course… (photo à consulter dans le carrousel de présentation de la CACC).

 

CHAPARRAL 2J et 2H

Toutes les idées qui sortent du cadre ne sont pas obligatoirement vouées à l’échec. Beaucoup dépend de qui les met en œuvre. Jim Hall et ses Chaparral en sont l’illustration. Hall trouva en la Can Am le parfait terrain de jeu pour donner vie à ses idées avant-gardistes. Il fut le tout premier, des années avant tous les autres, à comprendre l’importance de l’aérodynamisme et introduisit les ailerons puis l’effet de sol (10 ans avant Lotus et Colin Chapman).

Dès 1965, Jim Hall équipe ses voitures d’un aileron mobile. Il entre dans le Championnat Can Am dès sa création en 1966 avec une voiture, la 2C équipée de cet appendice. Le concept sera poussé à son extrême en 1968 et 69 avec la 2H, qui, trop radicale, ne fut pas une réussite  (photo à consulter dans le carrousel de présentation de la CACC). Les accidents se multiplient, notamment en F1, en 1969 à cause de ces ailerons. La 2H est un avion collé au sol. A la moindre perte d’appui, elle s’envolera. Face au danger, les régulateurs bannissent de toute compétition ces ailerons mobiles.

Qu’importe.  Jim Hall changea son fusil d’épaule tout en continuant à explorer l’aérodynamisme avec le modèle 2J en 1970. Une voiture plus que surprenante, ressemblant à s’y méprendre à une boîte à chaussures à laquelle on aurait greffé un train avant de voiture de course… Plus moche ce n’est pas possible. Mais efficace, même si elle ne sera pas fiable.

La 2J est équipée en plus de son moteur thermique, de 2 moteurs deux temps qui alimentent 2 turbines qui créent une dépression sous la voiture, la collant au bitume. Et cela marche. La 2J surclasse les Mac Laren en vitesse de passage en courbe et aux essais qualificatifs de la course de Riverside,  Vic Elford colle deux secondes au tour à première Mc Laren. Mais le problème est que les turbines aspirent et éjectent derrière la voiture à la vitesse d’une balle de fusil tout objet ou débris aspiré sur la piste. Les voitures suivant la Chaparral risquent à tout moment de crever leur radiateur, ou pire, les pilotes de prendre ces projectiles en pleine face. Là encore, le législateur ne peut laisser faire et interdit les turbines aspirantes (photo à consulter dans le carrousel de présentation de la CACC).

S’en est trop pour Jim Hall qui jette l’éponge. Il aura quand même eu la satisfaction de remporter 3 victoires en CAN AM avec ses voitures On ne le reverra que 10 ans après, avec la Chaparral 2K conçue pour les 500 miles d’Indianapolis. Johnny Rutherford s’y imposera à son volant en 1980.

Chapeau bas Monsieur Hall !

LA QUALITÉ ACCESSIBLE

Arpiem a développé un circuit de conception / fabrication / distribution court, ce afin d’apporter la juste qualité au meilleur prix.

 

Les choix sont toujours ceux de la qualité accessible : des mouvements suisses ou japonais éprouvés et reconnus, l’utilisation de l’acier 316L de qualité chirurgicale pour les boitiers, de verres saphir qualité crystal traités anti-reflet, de traitement de surface DLC (Diamond Like Carbon) pour les boitiers noirs plutôt que le traitement PVD moins résistant, l’utilisation de boucles inox déployantes pour les bracelets, des packagings originaux et valorisants.

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LE SENS DES DÉTAILS

Les montres Arpiem se révèlent dans les détails de leur conception : l’utilisation du cadran « triple couche », la présence d’un bouton coloré, la gravure discrête du bouton central, les éléments mis en avant sur les cadrans qui participent à l’histoire associée à chaque modèle.

ARPIEM SYNONYME DE TRANQUILITÉ

Les montres Arpiem disposent d’une garantie internationale de deux ans (voir chapitre Garantie).

De plus, vous bénéficiez d’un droit de retour et de remboursement intégral de votre achat au cas où vous ne seriez pas totalement satisfait pendant  30 jours à compter de votre date de commande.

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DES MONTRES QUI RACONTENT DES HISTOIRES ET TRANSPORTENT DES ÉMOTIONS

Les montres Arpiem se distinguent par leurs combinaisons de couleurs et leurs détails graphiques. Chaque modèle fait référence à un lieu, un homme ou à un événement marquant de l’univers des sports mécaniques chers à Vincent Repoux, le créateur de la marque. Passionné de course automobile, ses émotions sont principalement liées aux sons, aux formes, aux odeurs et aux couleurs, faisant de lui un adepte de la période romantique des compétitions des années 60 et 70. Celui-ci exprime et transmet ses émotions dans ses créations.

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DES MONTRES RARES

Toutes les montres Arpiem sont produites en séries limitées numérotées. Ce sont des montres qui sont et demeureront rares. Posséder une Arpiem, c’est se singulariser, ne pas porter la montre de tout le monde. Mais étant toutes numérotées, la vôtre est et restera unique.

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